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Les réalisateurs expérimentés ont tous leurs caméras fétiches, après avoir tourné avec des centaines d'heures de séquences dans différentes conditions à travers le monde. À ce titre, seul un appareil vraiment exceptionnel pourrait les inciter à revoir leur choix d'équipement.
Pour Alex Wykes, directeur de Verri Media, la caméra cinéma Canon EOS C300 Mark II représente depuis bien longtemps un indispensable à la réalisation de ses films. Alors qu'il réalisait un documentaire présentant les coulisses du travail de Marina Cano, photographe animalière et ambassadrice Canon, Alex a eu l'occasion de tester le Canon EOS-1D X Mark III dans le désert du Kalahari et d'ajouter ce reflex à son équipement.
Au cours de cinq jours de tournage dans l'environnement ardent, poussiéreux et difficile de la réserve Tswalu Kalahari, en Afrique du Sud, dans la province du Cap-Nord, le réalisateur a pu tester le Canon EOS-1D X Mark III en conditions réelles, aux côtés de sa caméra cinéma préférée. Il a trouvé que cet appareil lui procurait une solution créative unique, l'aidant à créer exactement le film qu'il désirait, sans compromis.
« Au cours des 20 dernières années, nous avons tourné dans la jungle, à la montagne, dans la neige, la chaleur, le froid et l'humidité », se remémore Alex. « Nous avons beaucoup voyagé et nous avons travaillé dans des environnements hostiles et difficiles. Ce n'est donc certainement pas la première fois que je m'attelle à cette tâche, consistant à prendre des photos au ras du sol en plein désert. »
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Alex savait que sa caméra Canon EOS C300 Mark II de prédilection serait la partenaire idéale lors d'un tournage délicat, en particulier pour réaliser des gros plans de Marina en plein travail. « Nous avons pris tous les plans serrés qui nécessitaient de réagir sur le vif et de filmer caméra au poing avec la Canon EOS C300 Mark II associée à l'objectif Canon EF 24-105mm f/4L IS II USM », explique-t-il.
Grâce à la technologie audio quatre canaux présente sur la Canon EOS C300 Mark II, Alex a pu travailler de manière spontanée. Il lui a été ainsi possible d'enregistrer un son synchronisé, sans devoir faire appel à un preneur de son équipant Marina d'un micro-cravate et la caméra d'un micro shotgun. « Les préamplis micro intégrés à l'appareil facilitent considérablement la restitution du son embarqué », précise-t-il. « Je voulais saisir certains moments sur le vif ainsi que la proximité et l'intimité que l'on ressentait lorsque Marina parlait directement à la caméra, nous donnant l'impression d'être à ses côtés. »
Alex faisait quant à lui confiance à l'autofocus CMOS Dual Pixel pour garantir une mise au point nette sur Marina, bien qu'il ait parfois opté pour une mise au point manuelle, en sachant que la technologie de Guide de mise au point lui indiquerait précisément à quel moment son sujet serait net. « C'est l'équipement idéal pour les prises de vue documentaires à la volée qui ne vous laissent pas de deuxième chance », déclare-t-il.
Les prises de vue de la faune ne se limitent toutefois pas aux séquences d'action. Il convient également de faire des gros plans des animaux (en l'occurrence, des suricates et des meutes de chiens sauvages d'Afrique qui se déplacent rapidement) et, dans l'idéal, de faire apparaître le photographe et son sujet dans le cadre. « Nous voulions aussi établir un lien entre le rendu final des photos de Marina et ce qu'elle voyait à travers son objectif. Nous devions donc voir à travers ses yeux », se souvient Alex. « Marina étant la star de ce film, nous voulions réussir à immortaliser les animaux entre elle et son appareil, de façon à faire apparaître dans un même cadre la photographe animalière et ses sujets. »
C'est là que le Canon EOS-1D X Mark III a révélé toute son efficacité, aidant Alex à réaliser des clichés d'une qualité tout simplement impossible à atteindre sur d'autres appareils. « J'utilise parfois le Canon EOS 5D Mark IV associé à un stabilisateur pour filmer en 4K, mais il est rare que je me serve d'un reflex. Dans l'idéal, j'aime filmer à grande vitesse et réaliser des séquences en 4K 60p avec le stabilisateur. Désormais, je m'équiperai sans aucun doute du Canon EOS-1D X Mark III. »
La fréquence d'images du Canon EOS-1D X Mark III et la capacité du capteur plein format à filmer en 4K 60p sur une plage dynamique très étendue grâce à la fonctionnalité Canon Log ont convaincu Alex d'ajouter un réflex à son équipement de tournage professionnel.
« Puisque nous voulons présenter nos films en 4K, nous avons l'habitude de tourner en 4K 60p. Mais il nous arrive également de réduire la fréquence à 25p, de façon à produire un effet de ralenti à partir des séquences 60p », explique-t-il. « J'utiliserai le Canon EOS-1D X Mark III en le laissant sur un stabilisateur pour filmer en 4K 60p, et l'accompagnerai d'une caméra Canon EOS C300 Mark II pour filmer en 4K 25p. Ce sont deux styles de prise de vue que nous mélangeons régulièrement. »
Pour filmer la faune, des chiens sauvages en train de chasser aux oiseaux fendant les airs, l'autofocus intelligent du Canon EOS-1D X Mark III représente un atout de poids, que ce soit pour les prises de vue à la main ou sur trépied. Lorsque vous capturez des prises de vue à l'aide du viseur, l'appareil propose 191 collimateurs autofocus pouvant être sélectionnés individuellement, dont 155 de type croisé offrant une sensibilité accrue. En mode Visée par l'écran, l'appareil utilise le célèbre système autofocus CMOS Dual Pixel de Canon. Ce système couvre 90 % du cadre horizontal et 100 % du cadre vertical, en plus de posséder le nombre incroyable de 3869 positions AF pouvant être sélectionnées manuellement. Dans les deux modes, le capteur AF dédié de l'EOS-1D X Mark III et son algorithme d'autofocus révolutionnaire à base de deep learning offrent une performance d'autofocus à couper le souffle.
Dans le désert du Kalahari, Marina Cano a photographié des spécimens curieux, ainsi que des espèces insaisissables en voie de disparition, à l'occasion de sa première expédition de photographie animalière avec le Canon EOS-1D X Mark III.
« La capacité à suivre les animaux en mouvement relève pratiquement de l'exploit », déclare Alex. « Le Canon EOS-1D X Mark III offre des performances de suivi remarquables et sait exactement où réaliser la mise au point. C'est le meilleur reflex qu'il m'ait été donné d'utiliser. Sans oublier l'écran tactile, qui représente un énorme gain de temps.
« Les animaux étant imprévisibles, vous devez vous munir d'un appareil très intuitif, et l'autofocus du Canon EOS-1D X Mark III est à la hauteur de ce défi. » La fonction de suivi des sujets de l'autofocus s'est également avérée indispensable pour photographier Marina aux côtés des animaux. « Désormais, je filme toujours mes interviews en activant la fonction de suivi des visages de l'autofocus. Je peux ainsi faire preuve d'audace et définir une valeur f supérieure », ajoute Alex.
Lorsque l'on tourne en 4K, il est essentiel de disposer d'une mise au point précise, à plus forte raison si l'on utilise des objectifs plus longs et plus rapides avec des ouvertures plus larges à l'aube et au crépuscule, qui représentent les meilleurs moments pour suivre la vie sauvage.
Alex s'était équipé de tout un arsenal d'objectifs Canon EF, comprenant un assortiment d'objectifs zoom : un Canon EF 24-70mm f/2.8L II USM, un Canon EF 70-200mm f/2.8L IS III USM et un Canon EF 16-35mm f/2.8L III USM ; ainsi qu'un objectif à focale fixe Canon EF 50mm f/1.2L USM et un super-téléobjectif Canon EF 400mm f/2.8L IS III USM. Pour autant, l'objectif dont il s'est le plus servi est le Canon EF 200-400mm f/4L IS USM Extender 1.4x, grâce à sa capacité à saisir l'action sur une grande plage de distances focales.
L'un des défis qui se posent aux réalisateurs filmant à l'aide de deux appareils distincts est d'arriver à maintenir un rendu homogène lors de l'assemblage des séquences. L'utilisation des mêmes objectifs Canon sur les deux appareils aide à y parvenir, mais Alex a également remarqué que les codecs des modèles Canon EOS C300 Mark II et Canon EOS-1D X Mark III étaient très faciles à associer en post-production.
Cela s'explique par le fait que le Canon EOS-1D X Mark III est le premier appareil Canon, reflex et hybride confondus, à filmer en plein format des séquences Canon Log en 4K et à les enregistrer en tant que fichiers H.265/HEVC 4:2:2 10 bits au format MP4, une fonction qu'Alex a mis à profit pendant la majeure partie du tournage. L'appareil peut également produire des séquences au format RAW 5.5K 12 bits, en enregistrant en interne des fichiers sur des cartes mémoire CFexpress. Il en résulte des vidéos 4K suréchantillonnées et incroyablement détaillées procurant un contrôle optimal en post-production.
« Nous avons tourné quelques séquences au format RAW 12 bits, mais lorsque nous filmions en 4K 4:2:2 10 bits avec la caméra Canon EOS C300 Mark II, nous filmions également en 4K 4:2:2 10 bits sur le Canon EOS-1D X Mark III », déclare Alex.
« Nous avons utilisé la fonction Canon Log 3 sur la caméra cinéma, alors que le reflex ne possédait que le mode Canon Log. Ceci étant, les codecs accordent un tel niveau de contrôle qu'il a été facile d'harmoniser les couleurs en post-production. Le plus difficile a été d'assortir les séquences tournées à différents moments de la journée. Dans le Kalahari, si vous regardez d'un côté, le sable est jaune, et il vous suffit de tourner de 90 degrés pour qu'il soit d'une tout autre couleur. Je restais cependant serein, car tant que nous filmions en mode Log avec balance des blancs prédéfinie, il nous serait possible d'assembler les séquences des appareils. Le Canon EOS-1D X Mark III intègre un très bon codec proposant de nombreuses possibilités d'exposition, ce qui facilite l'étalonnage. »
Lorsque l'on tourne en 4K, il est essentiel de disposer d'une mise au point précise, à plus forte raison si l'on utilise des objectifs plus longs et plus rapides avec des ouvertures plus larges à l'aube et au crépuscule, qui représentent les meilleurs moments pour suivre la vie sauvage.
Le rendu final du film est grandiose, grâce aux prises de vues atmosphériques du désert et aux gros plans saisissants d'animaux vifs, un véritable défi pour tout réalisateur. Grâce à la technologie de pointe du Canon EOS-1D X Mark III, Alex a adopté de nouvelles façons de filmer. Il a également la certitude que les réalisateurs professionnels devraient sérieusement envisager de s'équiper de ce reflex.
« Je suis parfaitement satisfait du Canon EOS-1D X Mark III », se réjouit-il. « J'aime toujours autant mes caméras cinéma, mais c'est un appareil supplémentaire exceptionnel. Il sera idéal pour capturer des séquences b-roll cinématographiques et d'autres plans de coupe qui contribuent à illustrer les histoires que nous filmons avec la caméra Canon EOS C300 Mark II. »
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La vie est ponctuée d'instants uniques. Immortalisez-les avec l'EOS-1D X Mark III et racontez votre histoire en images au monde entier. « Le Canon EOS-1D X Mark III offre des performances de suivi remarquables et sait exactement où réaliser la mise au point. C'est le meilleur reflex qu'il m'ait été donné d'utiliser », confie Alex. « Sans oublier l'écran tactile, qui représente un énorme gain de temps. »
Un outil de production hautement créatif qui enregistre des vidéos en résolution 4K/Full HD avec une plage dynamique jusqu'à 15 arrêts de plage dynamique. « C'est l'équipement idéal pour les prises de vue documentaires à la volée qui ne vous laissent pas de deuxième chance », déclare Alex.
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